L'histoire n'écrit pas en l'absence du document historique correct. Du point de vue méthodologique, nous reconnaissons la difficulté d’écrire une histoire continue de la ville actuelle de Feriana, ce que nous allons essayer de faire ne dépassera pas nécessairement les plus importantes stations documentées du passé de cette ville ancienne.

De nombreux documents silencieux font état de la contribution de la secte Feriana à la civilisation crétacée, qui s'étendait entre 7 000 et 5 000 av. J.-C. On s'attend à ce que le berbère voisin soit le peuple indigène de toute l'Afrique du Nord et conserve son nom à ce jour, contrairement à deux villages du même Le nom est un entre Kairouan et le Mahdia et un autre dans le pays de l'Algérie à l'ouest de Tebessa dans le pays des Oras et peut-être l'interprétation la plus importante de la persistance du Drh Friana et du temps brûlant, malgré l'expérience vécue par la région des troubles et des transformations, peut-être les tribus les moins arrivantes, les tribus de Bani Hilal et de Bani Salim entre les siècles / XI et XII. Isoler l'intérieur et répandre la vie de voyager et de voyager Sur une grande échelle, il peut se résumer en trois principaux facteurs qui ont influé sur l'influence de Emma dans l'histoire de la ville.

Le premier de ces facteurs a bénéficié de l’épanouissement de la prospérité de la ville romaine de la ville voisine de Thelepte, fondée au cours de la seconde moitié du premier siècle de notre ère. Et deuxièmement, sa situation géographique entre Gafsa et Tabsa, ce qui lui a permis d’être le centre du voyage des voyageurs d’Ouest et d’Est. Peut-être que ce qu'on appelle aujourd'hui le "pays" est apparu à l'ère Hafs. Le terme "pays" était principalement associé à la signification du logement rural pendant cette période, ce qui distingue les agriculteurs stables des nomades et des citadins. Ainsi, le "pays" était un lien entre les Bédouins et l'urbain, et la nature de cette relation. Le troisième et le plus important facteur de notre opinion remonte au début du XVIII / IXX, lorsque Sheikh Soufi Ahmad al-Talili a fondé le "corner" - l’école dans laquelle il souhaitait être un phare de la science et un abri pour les visiteurs des tribus éloignées et voisines.

Cette histoire et la feriana attirent l’attention des visiteurs et des étudiants en sciences, de sorte que l’école ahmadie devint une branche de Zeytounia, ce qui contribua efficacement à sensibiliser à l’identité et à la préserver face aux tentatives du colonisateur de la brouiller. Le grand nombre de combattants riches en ville et dans la campagne environnante témoigne de la prise de conscience précoce de la nécessité de participer à la libération du pays. Depuis l’indépendance, le village de Friana n’a cessé de se développer à tous les niveaux: il s’agit d’une ville de 24 400 habitants après 1100 au début du XXe siècle et de 4 500 maisons après leur nombre qui n’était plus que 120, ce qui n’était pas anodin par rapport à 15 maisons dans les deux Kasrine de la même période. Selon l'historien Charles Manchkour.